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Les conseils Celside pour se faire une place dans le numérique quand on est une femme

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Ce 17 avril 2021 se tiendra la « Journée mondiale de la femme digitale ». L’occasion de revenir sur la difficulté qu’ont les femmes à s’imposer dans le domaine du numérique. Aujourd’hui encore, un tiers seulement des emplois dans ce secteur est occupé par des femmes. Heureusement, des groupes de soutien et des réseaux professionnels peuvent aider une femme à se faire une place dans le numérique. Celside vous présente les plus importants !

A la veille de l’édition 2021 de la « Journée mondiale de la femme digitale », Celside revient sur les inégalités hommes-femmes dans le monde du numérique, toujours aussi fortes. Les femmes n’occupent actuellement qu’un tiers des emplois dans le digital. Un chiffre qui chute drastiquement pour les professions les plus techniques, et pour les directrices de start-up ou cadres dirigeantes.

Comment se faire une place dans le numérique quand on est une femme ?

Pour une femme, se faire une place dans le numérique s’apparente à un parcours du combattant. Heureusement, les groupes de soutien et les réseaux professionnels féminins se sont multipliés ces dernières années. Ils peuvent vous offrir une aide précieuse pour mener au mieux votre carrière.

En juillet 2011, Syntec Numérique, le syndicat des professionnels du numérique, a ainsi créé Femmes du Numérique. Soutenu par l’Etat et par plusieurs grandes écoles, ce programme entend faire connaître les métiers du numérique aux étudiantes, mais aussi encourager et favoriser les carrières féminines dans le numérique.

De nombreux réseaux professionnels féminins peuvent vous aider à vous faire une place

Parmi les réseaux professionnels féminins les plus influents, citons d’abord Professionnel Women’s Network, ou PWN, un puissant réseau international disposant d’antennes actives à Paris, Marseille ou Lyon. L’entraide y est une règle d’or ! L’association Elles bougent s’est donnée une large mission : renforcer la mixité dans les entreprises des secteurs industriels et technologiques, combattre les stéréotypes qui pèsent sur l’industrie et inciter les jeunes filles à envisager des carrières dans les secteurs scientifiques et technologiques. L’association Girlz in Web et la branche française de Girls in Tech se sont données le même objectif.

Du coté des créatrices d’entreprises, Bouge ta boîte est un réseau féminin de 1 200 entrepreneuses, qui fonctionne sur le principe de la recommandation mutuelle. Parfait pour créer des synergies fécondes. Plus spécifique, le Réseau Mampreneures propose un soutien aux femmes qui souhaitent concilier entreprenariat et maternité. L’association « Les Premières » fédère les incubateurs soucieux de s’ouvrir à la diversité, et qui favorisent les projets menés par des équipes féminines ou mixtes. La Ruche offre quant à elle un programme d’incubation gratuit réservé aux femmes, « Les Audacieuses ».

Ces quelques noms ne sont qu’une partie des réseaux et associations qui peuvent soutenir une femme déterminée. Vous pouvez en retrouver d’autres sur l’excellente fiche de Femmexpat consacrée à ce sujet.

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